mercredi 30 novembre 2016

Espace et Course au Téléthon!



Cette année Espace et Course organise les marches du Téléthon.

Samedi 3 Décembre à la Capitelle


Vous avez 2 parcours à votre disposition  un 5km et un 10km et vous pouvez venir en famille ou avec des amis de 9h00 à 14h00 au départ de la Capitelle ( au Mazel).

Si vous préférez courir ou marcher en groupe vous pouvez venir nous retrouver à 9h00 au départ pour faire le 10km.
Les coureurs partiront les premiers et la marche nordique tout de suite derrière.
Don minimum de 3€ qui vous donne droit à une boisson à l'arrivée.

Nous comptons sur vous pour la réussite de cette journée. L'argent récolté servira à financer les recherches sur les maladie génétiques.

 


jeudi 24 novembre 2016

SaintéTrail Urbain by Jérôme

SaintéTrail Urbain by Jérôme

Même si je n'ai croisé que 2 ou 3 Monistroliens, je sais que plusieurs d'entre vous étaient présentes alors je vous partage mon petit compte-rendu d'après-course.


La fin d'année s'annonçait sportivement calme et lors du sondage pour le choix de la course du Casino Running, je m'étais contenté de suivre les résultats.
Finalement, le Sainté Trail Urbain fut choisit. Plus d'une' vingtaine de personnes seront présentes 4, sur le 9, 5 sur le 31 tous les autres sur le 16.

Cédric, avec qui nous avions fait le 33 km l'an dernier, me demande de le faire ensemble. Lors de la précédente édition, pour cause de match et de plans de sécurité attentat, le Chaudron avait fermé plus tôt ne permettant pas à tous les coureurs de le traverser.
Cette année l'objectif était donc de traverser le stade Geoffroy Guichard (j'ai pas mis le chaudron pour éviter les répétitions, mais je pense que tout le monde avait fait le lien).
Je me laisse convaincre (bon certes il n'a pas eu beaucoup à insister).

Malheureusement pour Cédric, un malencontreux accident de barque et le voilà, poignet fracturé, bon pour 3 mois d'arrêt.
En me renseignant sur mes autres collègues du 31, au nombre de trois, je me rends compte que l'aventure sera ... solitaire (ils finiront tous les trois dans les 100 premiers). Tant pis il me reste 4 semaines pour m'entrainer, mais ça risque d'être court, alors on va tout miser sur la fraicheur. Sur les semaines, une séance d'escaliers, 2 sorties longues, 2 sorties nocturnes, 3 séances vma et le trail des sucs. A la course comme à la course !

Outre le Casino Running, j'apprends quelques jours avant que plusieurs Monistroliens seront présents sur le 16km.
Gérald l'un de nos guides à Monistrol ira d'ailleurs avec un groupe de collègues pour rendre hommage à l'une de leur amie "un Défi pour Sylvie".

Le samedi vers 18h je me décide quand même à préparer mes affaires, c'est surtout pour gagner du temps de sommeil pour le lendemain matin. L'avantage de courir avec le Casino Running, c'est qu'il n'y a pas à faire la queue pour le dossard. A ce moment-là j'apprends que Vivien est cloué chez lui par un virus hivernal ennemi de nos intestins.
Un dernière' coup d'oeil à la météo. Pas de pluie pas de froid. Par conséquent, à l'inverse de l'année dernière où le froid, la pluie et la neige s'étaient alliés pour donner un côté plus trail, cette année sera plus calme. Mises à part quelques rafales de vent, on s'oriente vers une météo plus favorable et donc des chaussures routes.

Dans les préparatifs, je me prépare une playlist. Le trail n'interdit pas les écouteurs (à la différence du triathlon) alors profitons-en.

Départ des portes du Velay à 7h55, circulation fluide jusqu'à l'entrée du Parking du Zénith. J'hésite quelques secondes à m'engager car les trottoirs semblent déjà bien chargés. Comme il reste une grosse demi-heure je tente le coup. En fait je m'aperçois qu'une grande partie des parkings est condamné, bloqué par des voitures de police ou des camions de l'organisation. Sécurité oblige.

Et finalement après deux trois allées pleines, une simili-place semble dispo. Elle fera très bien l'affaire. En plus un policier municipal vient de garer son scooter pour filtrer les accès. Génial il pourra surveiller mon Berlingo qui a énormément de valeurs (car dans Berlingo il y a Lingo(t)) !
Je file récupérer mon dossard auprès de Yves le gardien des sacs, puis je retourne dans mon vestiaire à 4 roues pour mettre la puce, épingler le dossard, enfiler les habits et les chaussures adhoc.

Sur le parvis du Zénith je retrouve les TShirts Jaune Fluo. Petite séance photo de groupes avant le départ. Encore dix minutes avant le départ. Je cherche des TSHirts Oranges (signe distinctif des monistroliens, à chacun sa couleur :-) ), mais je n'aperçois personne. La densité de coureurs augmentent rapidement.
Le speaker s'en donne à coeur joie pour remercier tous les organisateurs, le ville, la région, le monde plus tous les autres sans oublier tous ceux qu'il ne nommera pas (j'espère que j'ai oublié personne).
Sauf que l'organisation à laisser les plots métalliques de presque un mètre de haut, sur le parvis. Et ça le speaker, il n'en pipe pas mots. Pas très prudents pour la meute qui va s'élancer.

Car le terme de meute est loin d'être galvaudé. L'organisation fait partir en même temps le 16 et le 31. Grosse erreur. Les premiers partent comme des balles, sauf que pour les boulets comme nous, c'est chaud. La meute pousse, la route n'est pas très large. Nombreux sont ceux qui essayent de s'extirper de la masse par les côtés pour avoir un peu de champ. Mais le tracé alternant les changements de direction, personne ne prend le large très longtemps.
Moi qui voulait partir tranquille c'est loupé. Je me retrouve à faire du 13 / 14 km/h sur certaines portions, c'est beaucoup trop tôt pour faire de la VMA.
Après quelques zig-zags à travers la cité Télécom Saint-Étienne, on débouche au pied des escaliers puis de la côte du Crêt de Roch. Et qui dit rétrécissements, dit bouchons.
La séparation des deux distances aura lieu à hauteur du parking de la place Antonin Moine, après 3 km. C'est là que je croise Marco, un collègue du club de Monistrol qui aide l'organisation en aiguillant les coureurs selon la couleur du dossard. Les tout noir du 31 vont tout droit, les rosés du 16 tournent à droite.

La traversée de la place Chavanelle se fait beaucoup plus calmement, je peux enfin me mettre au rythme de ma musique. Et non pour une fois c'est pas du Marillion, (enfin pas tout de suite). J'ai pris plus tranquille Pink Floyd (ou plutôt Brit Floyd, un tribute  - groupe d'amateurs qui reprend les morceaux d'un groupe célèbre - en l'occurence Pink Floyd).
Direction la Maison de la culture et une volée de plusieurs dizaines de marche nous attend. Derrière nous redescendons en direction de Montplaisir pour remonter au bois d'Avaize.
Cette partie est moins protégée du vent et on assiste de formidables tourbillons de feuilles rouge et or qui jaillissent, tels des jesers, à plusieurs mètres de haut. En traversant certaines avenues, on se retrouve nous même pris dans le shaker. La vogue des noix n'a qu'à bien se tenir.
Je remarque que depuis la séparation, ça double, ça double, suaf que c'est moi qui suis doublé. Et là où souvent le groupe de coureurs se dessinnent au bout de 4 / 5km, avec le départ cahotique et les bouchons les places se stabiliserons vers le 10e km.

Pour une fois le bois d'Avaize se traverse bien. Le terrain souvent gras n'est pas trop détrempé. On se retrouve sous le viaduc de l'autoroute. Au Vendée Globe ils appellent ça le Poteau Noir ici c'est Terrenoire !
Un détour par le bassin de Janon pour le 1er Ravito. Ravitaillement décevant, même pas un TUC. On tire plus sur le style Marathon que le style Trail. Je prends une poignée de raisin sec et je repars illico. On trouve enfin quelques chemins qui nous amène jusqu'à derrière l'IUT.
et la côte augmente, augmente afin que l'on se retrouve bien au dessus du lycée Benoit Fourneyron, mon ancien chez moi.
J'y arrive, Là, mais tard ...
... C'est bon tout le monde à fait le lien avec ce superbe calembour ? Et oui nous sommes sur les hauts de "la Métare".
Sauf que cette année, point de montée sur le GR. ON restera bitume, je ne regrette donc pas du tout mes chaussures routes.

Je fais semblant de raler de ne pas avoir le GR42, pour me la péter un peu, mais en fait je suis bien content ?? ! Nous basculons du  point culminant sous le son des cloches de "Division Bell".
La descente se passe rapidement et nous passons non loin de chez Abdel, et là qui vois-je ?
Eh bien Abdel (je viens de vous dire qu'on passait près de chez lui).
Ca fait toujours du bien de croiser un visage familier ! Ca vous donne du baume au coeur au moins ... le temps de faire la montée suivante.
Et on replonge sur Bellevue. On vient de terminer la partie EST de Saint-Etienne (par rapport à la Grande Rue), ce qui annonce presque la moitié du parcours.

On file sur la Cotonne, via une ancienne voie de chemin de fer. Et là depuis quelques minutes je remarque un coureur avec qui nous faisons le yoyo, vêtu d'un TShirt blanc avec de grosses lèvres rouges. Sa casquette est aussi support à une queue de cheval en laine noire.
En m'approchant je lis "Un défi pour Sylvie", il fait parti des amis de Gérald qui courent pour ce Défi. On échange quelques mots. Pour lui, outre son Défi pour Sylvie, il a un second défi plus physique, il n'a jamais couru 30 km. Je le félicite et chacun reprend son rythme.
Un mur s'offre à nous, et nous le prenons humblement. Je m'attendais à entendre "The Wall" dans mes écouteurs, mais il n'en ai rien. On redescend vers le quartier de Tardy, qui cette année est beaucoup plus calme, il n'y a même carrément personne.
Un petit tour par le Musée d'Art&Industrie. Histoire de vérifier l'adage un esprit sain , dans un corps sain "Anima Sana In Corpore Sano" (en latin) et dont l'acronyme est tout simplement ASICS !
Et oui pour tout ceux qui ont des Trabuco (entre autres), vous connaitrez désormais l'origine du nom de vos chaussures.

Et vous aurez le principe, comme nous sommes descendus, on remonte par une alternance chemin/escaliers, avant de redescendre par une piste de slalom en béton ornée d'une main courante bleue. C'est en haut de celle-ci que la casquette à la queue de cheval noire s'envole sous l'effet d'une rafale de vent. Et on finira se perdre dans les dédales des petites rues.
Mince je ne lui ai même pas demandé son prénom. Heureusement la nature est bien faite et je le retrouverais à la'arrivée : Christian !

Le vent a repris un peu de vigueur et je croise quelques bénévoles en plein courant d'air qui se caillent.
Et bon an mal an, on se retrouve au Puits Gouriots. Autre changement cette année, on entre part la cour du haut. Un ravito nous attend mais pas mieux garni en TUC que le 1er. Je prends un verre d'eau abricots et raisins secs et je repars.
Dans les bâtiments on tombe directement dans la salle des pendus avant de descendre et de traverser le parc qui longe la gare du clapier.

Le tour du crassier sera plus large moins pentu avec plus de bitumes. Définitivement, c'est un menu beaucoup plus URBAIN que Trail.
Le vent nous chahute encore un peu. Soudain je découvre la caserne Séverine des Sapeurs-Pompiers, plutôt moderne, toute noire avec des lettres Cuivrées, franchement sympa pour une caserne.
Et on continue la partie de cache cache avec les rafales.
Et comme un bon repas ne serait rien sans un bon dessert, Montaud nous attend.

Cette partie sera riche en émotions disparates. A 500m des célèbres, marches une bénévole en fauteuil roulant emmitouflé avec bonnet, écharpe, nous tiens la pancarte de direction et elle nous encourage tous un par un. Je la remercie et l'applaudis pour sa patience, car il faut bien voir qu'entre le premier et le dernier elle va rester plus de 2 heures à nous attendre.
Et clairement à ce moment là, on savoure le fait de courir même lentement.

Au pied des marches, un vrai camelot nous fait l'animation "Vous êtes en train de construire la chapelle Sixtine de la convivialité". Avec une spectatrice qui attend un coureur avec ses enfants, on éclate de rires.
Et deux minutes plus tard, alors que je gravis les marches une à une, mon casque m'envoie un nouveau signale de réconfort. L'une (voire ma) chanson favorite de mon groupe préféré (Marillion pour ceux qui ne serait pas au courant) Garden Party. Pour moi cette chanson est presque aussi efficace qu'un Gel coup de fouet !
Malheureusement pour moi, c'est en pleine montée des 200 et quelques marches de Montaud et à mon allure cela me permettra tout juste d'arriver au pied des 6 soleils.

A ce moment-là, on arrive vers la dernière zone de chronométrage, en plein vent, avec des hauts-parleurs qui tentent de se faire entendre face au sifflement du vent. Je prête l'oreille pour savoir, si l'on a à faire à un nouveau camelot qui va nous dire que l'on est en train de gravir la face Nord du Kilimandjaro, ou s'ils diffusent "We are the Champion" de Queen.
Rien de tout ça !
Bien au contraire !
Une déception terrible.

C'est tout simplement la radio qui diffuse un spot de pub limite vexant : " ... DMLA est une dégénérescence de la vue liée à l'âge  ...". Et là je me dis qu'ils ont choisit le spot exprès pour les retardataires. Je présume que les premiers avaient droit à une pub sur les réductions SNCF pour les moins de 25 ans !

Il n'empêche que l'on attaque la dernière descente, et là les genoux commencent à taper sévères. Et depuis plusieurs minutes je sens le dessous des pieds qui chauffent. Je pense soudainement à la formation que j'ai eu 4 jours auparavant. Elle portait sur la "Pleine conscience", ou comment prendre conscience de tous les composants de notre corps de notre souffle à nos pieds. Et là je suis en pleine mise en pratique de la formation. Car j'ai bien conscience de mon orteil droit qui me titille, des 2 crampes qui tentent de s'immiscer dans mes mollets, de mes cuisses chargées de lactate.

Mais je ne suis pas là pour me plaindre, le stade Geoffroy Guichard est en vu. Le parking de l'étivallière est vite traversé et nous franchissons les grilles. Je commence enfin de monter les marches et j'en profite pour sortir mon téléphone afin de prendre une photo panoramique du stade, je dois bien ça à Cédric.
Je m'arrête quelques secondes en haut de marches pour profiter de l'étendu de ce stade vide. Quelques secondes à trottiner sur le bord de la pelouse et je ressors des tribunes.
La fin dur parcours je la connais bien, on l'emprunte régulièrement les jeudis. Retour au Zénith, traversée du parking, au passage j'entends Richard qui m'encourage.
Ligne droite devant la piscine, entrée dans le parc des expos.
C'est terminé !
3h24 pour 31,5 km et un peu moins de 1000m D+ (9,3 kmh).

Pas trop mécontent pour le peu d'entrainement spécifique.

Dans le hall, je retrouve David arrivé depuis une vingtaine de minutes, il attend son épouse. En allant cherchez mes affaires pour me changer je croise Gael qui a encore tourner comme une horloge en passant sous les 3h (50e). On se donne rendez-vous pour aller manger avec Richard (encore plus efficace 30e). Un bon repas du terroir.
Retour à la maison.

En ressortant je croiserais Christian discutant avec d'autres membres du "Défi pour Sylvie".

Bravo à tous les participants et bonne récupération aux malades d'avant course et aux courbaturés d'après course !

L'année sportive se termine bien.

Jérôme



MARCHE NORDIQUE DU DIMANCHE 27/11/16



PROGRAMME MARCHE NORDIQUE DU 

DIMANCHE 27 NOVEMBRE 16


RDV 9H00 PARKING CHOMETTE POUR 

CO-VOITURAGE STE SIGOLENE

OU

RDV 9H15 DEVANT MAIRIE A STE 

SIGOLENE 

PREVOIR 3€ ET GOBELET DU

RANDONNEUR POUR PARTICIPER AUX 

10 KM DE LA GOLENOISE







dimanche 20 novembre 2016

Sortie à Sainte Sigolène Dimanche 27 Novembre






Rendez-vous au Beauvoir à 8h30 pour un départ en co-voiturage en vue de participer à la 
31ème organisation de La Golénoise


mardi 15 novembre 2016

ARTICLE INTERESSANT SUR LA TECHNIQUE DE LA MARCHE NORDIQUE

LES 5 ERREURS DU MARCHEUR NORDIQUE DÉBUTANT : COMMENT LES ÉVITER ?

    
Vous souhaitez débuter la marche nordique ou venez de vous y mettre ? Pour vous aider dans votre apprentissage, nous vous donnons tous les conseils de marche nordique pour progresser rapidement. A la fin de cet article, il ne vous restera plus qu’à attraper vos bâtons et marcher !

1 - Choisir des bâtons de marche nordique trop grands ou trop petits

Pour effectuer le bon geste de la marche nordique, la taille de vos bâtons est déterminante. Choisir une paire de bâtons à votre taille garantit de vous propulser correctement vers l’avant, et donc de faire travailler efficacement les muscles en action, mais aussi d’aller au bout du geste en allongeant le bras au maximum vers l’arrière.
Si les bâtons sont trop grands, vous aurez du mal à vous propulser. S’ils sont trop petits,le mouvement ne sera pas assez ample.

2 - Marcher “à l’amble”

Lors de vos séances de marche nordique, vous devez marcher le plus naturellement possible : le pied qui se pose au sol est en opposition avec la main qui pique et pousse sur le bâton. Les bâtons accentuent simplement le mouvement de vos bras. L’erreur la plus courante chez les marcheurs nordiques débutants et de trop penser aux bâtons et de finir par marcher à l’amble, c’est à dire en avançant le bras et la jambe du même côté.
Pour corriger ce mauvais geste, arrêtez-vous, et recommencez à marcher en laissant traîner les bâtons derrière vous, grâce aux dragonnes. Lorsque vous le sentez, reprenez les bâtons en main pour piquer le sol dans la continuité de votre démarche naturelle, au rythme de vos pas.

3 - Planter les bâtons devant ou derrière vos pas

Pour un geste efficace, il faut planter les bâtons de marche nordique au bon endroit : entre vos deux pieds. Cela permet aux bâtons d’être suffisamment inclinés pour vous propulser vers l’avant en faisant bien travailler vos muscles, mais aussi d’aller au bout du geste.
Plantés trop loin devant, la poussée sur les bâtons sera difficile et va solliciter vos articulations jusqu’à provoquer une blessure, et à l’inverse si vous plantez les bâtons trop à l’arrière, il sera difficile de pousser au maximum sur les bâtons et donc de tonifier efficacement le haut de votre corps.

4 - Toujours garder vos bâtons de marche nordique en main

Si vous souhaitez profiter de vos séances de marche nordique pour vous tonifier et faire travailler votre cardio, le geste doit être complet : vous tenez fermement le bâton dans votre main au moment de piquer le bâton au sol, mais devez le lâcher au passage de la hanche pour tendre le bras vers l’arrière.
En gardant le bâton en main durant toute la durée du mouvement, vous serez gêné pour aller chercher le plus loin possible vers l’arrière avec votre bras.
N’ayez pas peur ! Les bâtons de marche nordique sont équipés de dragonnes qui vous permettent de lâcher vos bâtons pour un geste complet sans risquer de perdre vos bâtons en cours de route !

5 - Aller marcher avec n’importe quelle paire de chaussures

En marche nordique, les besoins de vos pieds sont spécifiques à ce sport, votre confort et le plaisir que vous allez ressentir pendant vos séances dépend grandement de vos chaussures !
En marche nordique, vous allez souvent être confronté à un terrain gras et humide. C’est pourquoi vous avez besoin de chaussures de sport avec un maximum d’adhérence, mais aussi de flexibilité pour assurer le bon déroulé de votre pied et garantir votre confort.
Oubliez donc chaussures de randonnés et paires de running, rien de mieux qu’une paire de chaussures conçue pour la marche nordique !
Maintenant, il n’y a plus d’erreur possible ! Vous connaissez tout ce qu’il y a à savoir pour bien débuter la marche nordique et progresser, alors attrapez vos bâtons et prenez un maximum de plaisir pendant votre prochaine sortie !

lundi 7 novembre 2016

Trail des Sucs - Compte-Rendu

Trail des Sucs par Jérôme



Bonjour à tous,

Juste un petit récit pour vous faire profiter de notre petite excursion en terre yssingelaise, pour la première édition du Trail des sucs. Et peut-être vous poussez vous aussi à prendre un dossard.

Samedi soir, alors que la pluie jetait violemment sur les vitres de ma salle, longue interrogation sur la participation ou non à ce Trail.
Selon les différents sites météo le ciel d'Yssingeaux oscillait entre pluie / bruine / neige / nuageux.
Rien de très enthousiasmant. Christophe Nebinger était chaud pour y aller, à 21h je décide donc de l'accompagner. Marie-Cécile et Patricia ne se décideront que le Dimanche matin à l'ouverture des volets.
Christophe fait donc ramassage scolaire, et nous récupère tous les trois vers 7h40, avec un petit 3 degrés au thermomètre. Gilles, notre cher président, nous fait un petit signe de sa cuisine.
Sur Monistrol le ciel est gris, et après avoir traversé le viaduc du Lignon, nous découvrons quelques trouées bleues beaucoup plus vigoureuses qui déchirent les nuages. Le soleil en profite pour nous inonder de ces rayons. Marie-Cécile nous explique que c'est complètement normal vu que l'on arrive "Dans le plus beau pays du monde", puisque c'est le sien :-).

Une fois sur place, nous retrouvons Pascale et Marc. Ensemble nous allons nous inscrire ou récupérer nos dossards selon. J'avoue que pour un petit trail local, qui n'a ni dotation, ni puces de chronométrages, ni repas, (ce qui est tout à fait louable pour le commun des coureurs), le tarif reste un peu élevé. Je comprends mieux comment le Tryssingeaux a financé son Week-End au NatureMan dans le verdon, où leur grande délégation était arrivé en car :-)

Dans la cohue des inscriptions, Marie-Cécile enchaine les rencontres.
Malgré le beau temps, la température frôle les 0 degrés, tout le monde s'équipe en long. Les filles en profitent pour étrenner leur sac porte-gourde (acquis lors de la séance d'essai organisé en Octobre ! Quand on vous dit qu'il faut venir).

Quinze minutes avant le départ nous rejoignons la ligne de départ. Comme on se retrouve en tête de cortège, on se dépêche de se mettre à l'arrière pour ne pas se faire embarquer au départ et surtout pour ne pas gêner. Au bord du sas de départ, nous apercevons Mr Drevet qui scrute la foule à la recherche de son épouse. Sandrine doit être parmi mais nous ne la trouvons pas non plus.

A 9h et quelques minutes de retard, le départ est donné.
Nous partons tranquille, l'idée pour tous est de faire une sortie du Dimanche un peu plus appuyé, mais pas de se mettre dans le rouge.
La petite troupe s'élance donc tranquillement. Très vite le peloton s'étire et on constate rapidement qu'il y a plus de personnes devant nous que derrière.
Le soleil est toujours de la partie.
Avec Christophe nous nous suivons dans les premières côtes. Jusqu'au moment où dans un monotrace en montée, ma voisine de derrière me signale mon lacet défait. En haut du monotrace, à seulement 3-4 km du départ, je m'arrête pour refaire les 2 lacets, puis quelques centaines de mètres, quitte à être arrêté, j'en profite pour une petite pause technique.

A partir de ce moment-là, n'ayant plus Christophe en ligne de mire, je prends mon rythme en me fixant de trottiner autant que possible dans les côtes pour maximiser l'entrainement. Cela me servira pour le SaintéTrail Urbain prévu dans 2 semaines.
Et comme à chaque fois, après une petite heure de course, mes compagnons de route, resteront avec moi jusqu'au bout.
Comme souvent j'essaye de trouver des petites motivations, et dans certaines lignes droites, au loin j'aperçois un petit point rose flashy. Ca me semble un bon moyen de repère pour évaluer si je coince ou pas.
La première moitié du parcours est plutôt montante, mais sans grosse difficulté. C'est sur la seconde moitié qu'il y aura les gros coups de cul !
Tranquillement nous nous élevons dans l'arrière-pays Yssingelais. Vers le 7e km nous passons les 1000m, et on commence de découvrir quelques traces de neiges dans certains recoins.
Même si la vitesse n'est pas terrible, j'arrive à trotiner sur la montée. Dans les bois, les branches dénudées laissent filtrer les rayons du soleil. Cela permet de ne pas ressentir trop le froid, mais surtout cela donne à certains passages une lumière magnifique, comme des centaines de mini projecteurs. Avec la fine couche neigeuse qui s'étend, je ne regrette pas mon réveil matinal pour un dimanche.

Peu avant le ravito, situé au 10e km, nous passons sous une arche blanche, bordé d'herbes emmitouflées dans leurs cristaux de coton. Si DisneyLand décide faire une attraction pour la Reine des Neiges, je pense que ce serait l'entrée idéale de l'attraction. C'est splendide.
Nous sortons du bout et arrivons au ravito, proche du point culminant à 1300m. Le point n'étant pas vraiment à l'abri, je ne m'attarde pas, juste le temps de prendre des raisins secs et des tuc. Ensuite on attaque une portion plutôt descendante sur 5 km. La première partie requiert pas mal de concentrations, de nombreux rocher affleurant ou roulants jalonnent la descente. Recouvert d'une légère pellicule de rosée, ils sont assez glissants. D'ailleurs nous avons du changer de versant, car la neige est beaucoup moins présente de ce côté.
Après la période rocher, nous avons alternons 2 revêtements : A découvert, des parties sablonneuses, roulantes, et sous les bois des parties, grasses, très grasses voire carrément boueuse.

Ah Oui j'avais oublié que le trail c'était aussi ça :-) ! Enfoncer une chaussure de quelques centimètres pour ressortir un pied qui double de volume et de poids en emportant une grosse épaisseur de boue telle un trophée.

Au loin j'ai toujours ma casaque rose, et l'écart semble très compliqué à combler.
Les passages gras m'ont d'ailleurs fait penser au Bois d'Avaize (pour ceux qui s'entrainent parfois sur Sainté).
Après la partie descente, on attaque les parties casse-pattes, où nous allons avoir quelques petits murs entre le 15e et le 19e km. Le plus raide, servira de segment Strava. Pour info, Strava est une appli Internet où nombre de sportifs (coureurs ou cyclistes) téléchargent leurs parcours et le programme calcule des segments et établi des classements. Ce peut être ludique voire addictif.
Et depuis quelques mois, des courses intègrent un segment Strava, avec un classement spécifique sur cette partie (encore faut-il arriver à temps pour télécharger sa montre avant la remise des trophées). En général l'objectif est de prendre un segment très dur.
Et pas loupé !

Le segment fait 600m, d'abord une descente de 300m de 30m de D- avant de basculer sur une montée de 300m mais avec 60m de D+ (près de 20%). C'est pas long mais ça pique.
A ce moment-là je commence de ressentir ma séance d'escalier du Vendredi. Pour ne rien arrangé, le soleil a perdu sa bataille des cieux et les nuages s'installent.

Généralement à chaque montée raide succède une descente raide ou boueuse. Et pour confirmer ces passages boueux nous débouchons sur un immense panneau triangulaire jaune "!". Et deux bénévoles (enfin 2 beaux jeunes hommes pour les filles) nous attendent pour nous tenir sur un passage très pentu et complètement détrempé, qui continuait ensuite sur quelques dizaines de mètres.
Je me dis qu'il serait presque aussi rapide de le faire en luge sur les fesses. Cela m'a rappelé ma première SaintéLyon en individuel, sous la neige, où certains concurrents ont descendus le bois d'Arfeuille sur le postérieur.
Le seul avantage de cette succession de montée/descente, est que ma casaque rose se rapproche, je ne suis plus qu'à une cinquantaine de mètres. Sauf que sur partie roulante, nous sommes vraiment à la même allure, il me faudra donc encore 1 km pour combler mon retard, et finalement ce n'est qu'au bout de 17km que je la rattrape. Et en arrivant près d'elle je reconnais la personne qui m'a prévenu pour les lacets.
Nous sommes à 20,5 km. Un bénévole, nous annonce l'arrivée dans 1,5 km, mais heureusement je ne l'écoute pas. A force on ne me l'a fait plus. En fait il restait plutôt 2,5 km.

La fin est assez roulante avec une légère remontée sur les derniers hectomètres.
Un pré boueux, quelques marches à flanc de collines et nous arrivons sous le complexe sportif d'Yssingeaux, que nous devons contourner pour voir l'arche.
Dans le couloir d'arrivée où l'organisation récupère nos dossards pour le classement (je vous rappelle qu'il n'y a pas de puces), Christophe qui a terminé depuis 1 mn vient me rejoindre.
Sous la tente du Ravito, avec Christophe et Alain, nous attendons nos collègues qui arrivent plutôt regroupés, ils ont pratiquement tous couru ensemble (je dis "ils" car même s'il y a une majorité de dames, Marco fait partie de la troupe). On en profite pour discuter avec Pierre-Henry, Ultra Taileur, ex Espace et Course, toujours aussi modeste, alors qu’il finit 27e en 2h00.

Résultat pour ma part 2h36 pour 23km avec 750 de D+ (à peine 9 km/h). Je pense que le manque de côtes à l'entrainement s'est fait sentir.

La course se gagne en 1h37 (Mr Lacassagne du Team Ben Run pour info) !

Il faut reconnaître qu'il n'y a pas de grosses difficultés et que le parcours est très bien pour ceux qui ont une bonne pointe de vitesse. C'est plus roulant que le Capito Trail (dixit Marie-Cécile adepte du Capito).

Sur le classement, je verrais que Sandrine a aussi terminé.

Bravo à tous les membres d’Espace et Course, Marie-Cécile, Pascale, Patricia, Sandrine, Christophe, Marc et Alain qui se sont fait violence pour se lever et venir courir dans le "plus beau pays du monde".



Bonne semaine à tous et à bientôt sur les chemins.

Et à la vôtre !


Jérôme     



mercredi 2 novembre 2016

RECTIFICATIF PLANNING MARCHE NORDIQUE


       A NOTER CE RECTIFICTIF



JEUDI 10/11    RDV 19H15  AU MAZEL AVEC  
JEAN LUC


DIMANCHE 13/11 RDV 9H00 AU BEAUVOIR 

POUR COVOITURAGE AUREC OU RDV 9H15

PARKING AUREC PLAGE RIVE GAUCHE 

SOUS LE PONT POUR UNE MARCHE 

D'ENVIRON 13KM